Bonjour,
Cette fois-ci, c’est la dernière ligne droite, la haute montagne est derrière nous, il reste encore quelques étapes de plaine et un contre-la-montre avant de franchir la ligne d’arrivée, en apothéose, le 22 juillet, sur l’avenue des Champs-d’Alligny, devant une foule nombreuse et en liesse pour acclamer les Alembertins. Attention, cependant, tout le monde n’est pas sûr de franchir la ligne, quelques-uns ayant connu des chutes, d’autres des ennuis mécaniques et certains autres des problèmes de santé, même si le service médical est au top et fait tout pour soigner les petits bobos !
MICHEL THOMAS EN POLE POSITION
J’étais quelque circonspect sur la venue de notre ami Michel, le fils d’André, notre ancien camarade, décédé en 2013, à la maison de retraite de Guérigny (Nièvre), à l’âge de 102 ans. En effet, ce n’est pas simple pour Michel, notamment pour son épouse qui, hélas, connaît de sérieux ennuis de santé.
Me voici rassuré, puisque l’ami Michel vient de me confirmer sa venue, accompagné de son épouse et deux autres personnes. C’est super, je suis très content, une fois encore, que le fils d’André honore de sa présence notre banquet, alors que son père, un temps donné, a lui aussi participé à notre rendez-vous étésien.
JEAN SCHERRER FIDÈLE AU POSTE
Notre ami ébéniste, un de nos doyens, puisqu’il affiche 86 ans au compteur de sa déjà longue vie, a respecté sa parole. J’avais souhaité, ardemment, qu’il put se joindre à nous, le 22 juillet, où il pourra visiter le musée, lui ai-je dit et réitéré.
A priori mes arguments et mon insistance ont fait mouche, puisque Jean m’a confirmé sa venue à Alligny, le samedi 22 juillet. Il fera tout exprès l’aller-retour depuis Paris, dans la journée, ce dont je le félicite et le remercie sincèrement pour cet effort, sachant que ce n’est pas forcément évident pour lui en ce moment.
JACQUES ELLEAU AND Cie ARRIVENT EN FORCE
Ne croyez pas que du côté de Bézenet on se tourne les pouces, que nenni, on suit l’actualité avec acuité. Je n’avais aucune inquiétude, puisque je savais que la famille Elleau avait déjà réservé sa place, via l’ami Georges Laz, au sein d’un gîte du musée.
Cerise sur le croquembouche alembertin, la famille Elleau viendra, accompagnée d’un couple d’amis de Bézenet. Je vous l’ai dit, à Bézenet, on ne fait pas les choses à moitié, puisqu’en fait, ils ne seront pas deux, mais quatre, ce qui s’appelle mettre les bouchées double… Merci les amis, de venir à Alligny, le 22, quatre à quatre !
ALEXANDRE DAVID, AVEC CHRISTIANE, EN PREMIÈRE LIGNE
Notre ami « Alex », et Christiane, son épouse, seront présents le samedi midi, à Alligny, eux aussi. « Alex » s’est démené pour tenter de retrouver un maximum de copains de sa promotion et tenter de les inciter à se retrouver à Alligny, à l’occasion de notre banquet.
Là non plus ce ne fut pas un long fleuve tranquille, ni une sinécure de retrouver les copains puis d’espérer les convaincre de nous rejoindre. À ce jour, il a su ramener dans notre giron, l’ami Abel Colas et, peut-être, Pierre Hilperthauser, mais sans certitude, puisque je n’arrive pas à avoir des nouvelles de Pierre. Gageons qu’avant la date fatidique ce copain et peut-être d’autres de la promo d’Alexandre daignent franchir le seuil de notre maison pour participer à nos agapes.
Toujours est-il que ta démarche, mon cher « Alex », mérite d’être soulignée, elle va dans le sens de l’Histoire. C’est avec des initiatives comme celles-ci ou d’autres que nous arriverons, certes à minima, à redynamiser notre association et lui donner encore quelques raisons d’espérer.
ANDRÉ GERMAIN, RECORDMAN DES PRÉSENCES AU BANQUET
Pour être franc, même si ce n’est pas au sens littéral du terme, je n’en menais pas large quand je me suis aperçu que je n’avais pas reçu la participation d’André Germain. Hier soir, j’ai pu « enfin retrouver le sommeil », puisque je sais que l’ami Dédé et son épouse Noëlle, seront bien des nôtres, son bulletin de participation devant me parvenir avant la fin de cette semaine.
Dédé est « un vieux » de la vieille en la matière, non pas qu’il soit si âgé que cela, c’est même encore un « jeunot », mais surtout parce que c’est sans doute un des plus fidèles de notre grand rendez-vous. Dédé n’est sûr de rien, il va vérifier, mais il est fort probable qu’il approche les 40 participations. Avouons-le, sans crainte d’être démenti, il doit même en être le recordman.
Concomitamment, notre ami gère le concours de pétanque avec maestria, lui, le « pointeur » patenté, reconnu pour ce talent, dans toutes les communes de Seine-et-Marne et plus si affinités. J’en profite, d’ailleurs, pour lancer un appel afin de récupérer des coupes et ainsi être en mesure de pouvoir récompenser les heureux récipiendaires dudit concours. En tous les cas, merci à toi, Dédé pour ton entregent. Bientôt, promis juré, je vais tout faire, je remuerai ciel et terre, je me « mettrai nu sur la place de Jaude », pour que tu entres dans le livre des records alembertins !
KHIMA ZAHIR VIENT DE ME DIRE OUI, POUR LE MEILLEUR, PAS POUR LE PIRE
L’ami « Kim », un bon petit gars de ma promotion, était incertain jusqu’à aujourd’hui, avant que j’arrive à le joindre. Il m’a dit de ne pas m’inquiéter et m’a confirmé qu’il serait bien présent. Me voilà, rasséréné, car je m’inquiétais, craignant franchement qu’il ne vînt pas à notre rendez-vous.
« Kim », localisé sur le bulletin à Perpignan, est en fait à Paris un certain nombre de mois, car malgré la retraite, il continue à travailler sur la région parisienne. Nous avons évoqué les copains et notamment les frères Bazile. Je lui ai fait part de mon angoisse concernant nos deux copains, qui d’ailleurs ne paient plus leurs cotisations, puisque nous ne les voyons plus, sachant qu’ils ont toujours payé quand nous les rencontrions, jamais d’une autre façon. J’ai demandé à « Kim », le cas échéant, de bien vouloir « servir » de covoiturage aux frérots, ce qu’il a accepté bien volontiers. Je vais tenter de les joindre et les mettre en rapport avec « Kim » et ainsi tout faire pour garantir leur venue à Alligny et les « récupérer » au sein de notre association.
ET MAINTENANT, QUE RESTE-T-IL À ESPÉRER ?
Il ne s’agit pas de vouloir jouer les oiseaux de mauvais augure ni « tomber » dans une forme de nihilisme, ce n’est pas dans mes gènes. Il faut juste être conscient qu’il faut (faudra) mettre beaucoup d’énergie pour que notre banquet continue à vivre, malgré le vieillissement de notre « population ». Pour le vivre en direct, je peux vous avouer que cela ne va pas sans sans poser des problèmes pour beaucoup de copains qui, aujourd’hui, ne peuvent plus venir, alors qu’ils ont toujours répondu présents auparavant… A ce niveau, le mal semble endémique, hélas.
Où en sommes-nous aujourd’hui ? Je préfère le verre à moitié plein au verre à moitié vide, ce qui me permet de vous énoncer que nous sommes sur la bonne voie. Nonobstant, il faut savoir raison garder, puisque beaucoup d’incertitudes à l’heure où j’écris ces quelques lignes, demeurent. En ce mardi 5 juillet, à 14 heures, nous sommes 82 le midi et 61 le soir, ce qui n’est pas le chiffre définitif, j’en suis fort aise.
Cependant, j’ai à gérer une équation à plusieurs inconnues, puisqu’un nombre relativement conséquent de personnes est toujours indécis, voire dans l’expectative quant à leur présence. Elles attendent encore un peu avant de se prononcer définitivement. Pour certaines, je suppute qu’il n’y aura pas de problème, pour d’autres je suis quelque peu circonspect. Je vais, durant les 8 prochains jours, me concentrer et mettre toute mon énergie et ma « force de persuasion » envers tous ces copains, en espérant les encourager à nous rejoindre. Il est essentiel, avant le 14 juillet, d’avoir la garantie, que toutes et tous seront présents ou pas, afin de prévenir en amont le traiteur qui, lui, a un impérieux besoin de savoir combien nous serons exactement le 22 juillet.
Voilà les amis, ce sera tout pour aujourd’hui, ces jours prochains je vous donnerai d’autres nouvelles qui, j’espère, seront toutes bonnes.
Confraternellement à toutes et tous.
Guylem Gohory (président des anciens d’Alembert)